Test de Syncthing Syncthing https://syncthing.net/ est un outil de synchronisation de fichiers en pair-à-pair. J'ai testé avec deux machines, un PC Ubuntu et un ordiphone Android. Les machines se reconnaissent par leur “device ID”, un condensat d'une clé cryptographique. Sur Android, on peut l'afficher avec “Afficher l'ID de l'appareil”. Sur Ubuntu via l'interface Web “Show my ID”. Pour accepter l'Android, j'ai utilisé la fonction qui affiche les ID des machines du même réseau local. Pour accepter le PC, j'ai utilisé le QR-code affiché dans l'interface Web. Installation sur Ubuntu : dans le magasin standard, donc apt-get install syncthing (ou bien le cliquodrome d'installation de logiciels). Aucune idée de ce qu'on doit faire après, je ne trouve pas la doc. Ah, si, le lien était discret : https://docs.syncthing.net/intro/getting-started.html On lance syncthing et il crée les clés puis vous redirige vers une interface Web Installation sur Android : via le Google Play Store. Il faut ensuite explicitement indiquer quels dossiers on partage ET REDÉMARRER SYNCTHING (c'est documenté mais on oublie toujours). Ensuite, l'Android voit le dossier ~/Sync que le PC partage. En sens inverse, le dossier est automatiquement créé, avec un identificateur choisi par Syncthing (et pas moyen de le renommer). Globalement, le concept semble bon. Mais Syncthing est très difficile à utiliser : dès qu'on a fait des trucs un peu non standard (par exemple parce qu'on débute et qu'on n'a pas bien compris les concepts), on a des messages pas clairs genre “Out of sync” ou “missing folder”. En cas de problème, il faut bien tout supprimer, arrêter syncthing, redémarrer et recréer les partages.