JOURNAL DU LAPTOP Retour sur de précédents chapitres 30/11/2022

Je reprends ce que j'ai déjà raconté mais je suis capable maintenant de raconter mieux.

Le premier schoolgirl porn qu'on me force à tourner. J'entre dans le studio, forte lumière, ces mecs que j'avais jamais vus, je comprends rien à ce qui m'arrive, à ce qu'on me demande, on m'a fait vêtir un uniforme, je suis sidérée, je sais pas quoi faire. Les mecs s'énervent… de 6 jusqu'à 12 ans mon frère aîné m'a contrainte sans douceur à m'entraîner aux techniques de combat traditionnelles comme un garçon, c'est devenu une seconde nature, alors, mes réflexes prennent le dessus sur ma volonté paralysée et je me bats. Je me bats avec ces 4 yakuzas, c'est une vraie lutte mais j'ai pas encore 15 ans ce sont des hommes adultes habitués à la violence, je ne fais pas le poids. La vidéo a toujours beaucoup de succès sur les sites payants, la petite fille se défend avec tout son corps, elle mord, elle crie, elle pleure, elle fait même pipi, mais ces hommes la maîtrisent, la déshabillent, l’écartèlent, la pénètrent par tous les orifices sauf la bouche, ils craignent ses dents, qu'est ce qu'elle prend ! Ça dure plus de 23 minutes, son sexe imberbe est un gros plus, le succès ne s'est jamais tari… hors vidéo, prostrée, épuisée, elle ne se défend plus quand le caméraman la sodomise tranquillement.

Je n'étais déjà pas vierge, mon oncle m'avait dépucelée vers 12 ans avec ses gros doigts, lui et sa femme me disaient c'était normal pour toutes les filles après les premières règles, Totalement ignorante du sexe, je l'ai cru, ça avait été très désagréable, douloureux, triste.

On m'a ramenée chez mon oncle, on m'a fait prendre des sédatifs sûrement, un instant sans surveillance j'ai voulu me poignarder mais trop faible la lame a glissé sur une côte, il n'y a même pas eu de sang. J'ai longtemps refusé de me nourrir, fait une grosse dépression, je ne suis jamais revenue à l'école, officiellement malade de surmenage

Au bout d'un an j'étais assez retapée pour participer à la cérémonie de commémoration pour mon grand-père (criminel de guerre), et j'ai tout déballé, mon oncle pédophile et le viol filmé… J'ai déjà raconté la suite, mon internement dans cette secte du hokkaido sous le prétexte que j'étais folle, j'y reviendrai pourtant.

Mon père m'a détestée dès ma naissance, il voulait un 4e fils, cette fille, à cause de l'âge de maman serait la dernière née. Il ne voyait pour moi qu'un seul avenir utile : me marier, me vendre en échange d'une alliance d'entreprise, comme au moyen âge les chefs de clan échangeaient leurs filles pour des alliances militaires, c'est la raison pour laquelle il payait très cher une scolarité destinée à faire de moi une parfaite épouse bien plus qu'une diplômée. De 6 à 12 ans, après la mort de maman, j'ai été élevée par une nanny américaine, je parlais donc américain, ça pouvait être un plus non négligeable sur le marché des épouses de luxe. Officiellement folle, je n'avais plus aucune valeur et mon père demande des comptes à son frère, fou furieux du marché passé avec le producteur porno. C'est là que mon cœur se soulève : ce qui l'a rendu furieux ça n'est pas ce qu'on m'a fait, c'est la faiblesse de la somme payée pour le tournage ! Quitte à perdre tout espoir de mariage fructueux il fallait qu'au moins le viol soit payé à sa valeur ! Ça n'est pas tout. Il est allé voir le producteur, en personne, pour le faire chanter, il a obtenu un gros dédommagement, et de plus, le contrat prévoyant 2 autres tournages, il ne les a pas empêchés mais a voulu être payé directement ! Mon père a littéralement prostitué sa fille !

Ne plaignez pas le producteur, il est rentré largement dans ses frais. La 2e vidéo tournée quand j'avais pas 17 ans marche aussi toujours très bien, pour les mêmes raisons : la petite fille se bat, contre 5 hommes cette fois, si on regarde attentivement, il y a un peu de sang sous son nez après une coupe et un changement de plan, la volée de gifles reçue m'avait laissée à demi sourde mais ça on ne le voit pas… Le troisième film est moins apprécié : la jeune femme (j'ai un peu moins de 18 ans) est trop maigre et puis elle se bat pas, au contraire elle semble coopérer, j'espérais que de cette façon ça se passerait moins violemment, grosse erreur. On la fait marcher à 4 pattes en laisse, une bitte en plastique enfoncée dans l'anus, c'est amusant mais tellement banal… C'est après cette 3e vidéo que j'ai réussi à m'évader pour la 3e fois, mon projet était de me laisser mourir, il fait très froid la nuit dans les montagnes et cette année-là il avait neigé tôt, c'est une mort très douce. Par chance, traversant une route sans l'avoir voulu je croise une patrouille de police… suit une autre partie de ma vie, l'hôpital, les policiers, le juge, transaction avec mon père, à 19 ans je me retrouve déboussolée mais libre, seule, à Nara.

Mais il y a encore pire.