Comme professionnels, mais aussi comme parents et comme citoyennes et citoyens, nous sommes plusieurs à être préoccupé.e.s par l’état de la planète (la planète Terre, s’il faut préciser). Les moyens pour l’améliorer sont souvent sujet à débat.
S'il y a une ligne directrice dans ma perception du monde, c'est que le progrès, technique ou social, permet de libérer le monde de contraintes malheureuses. Parmi ces contraintes, on retrouve l'oppression, la maladie et la faim. Je suis un progressiste.
La COVID-19 suscite bien des inquiétudes liées à l'alimentation. Plusieurs interventions dans les médias proposent, en réaction, une autonomie alimentaire accrue. Au menu, on met l'alimentation locale, le chauvinisme alimentaire et le survivalisme, et ce, sans même démontrer quel problème on entend régler.
🌱 Alors que des mouvements conservateurs (pourtant bien en vue chez les écologistes) nous souhaitent une agriculture paysanne et extensive, en ce jour de la Terre je nous souhaite plutôt une agriculture moderne, intensive et industrielle.
L'abeille à miel (ou abeille domestique) est une espèce européenne importée au Canada pour la production de miel et son talent pour la pollinisation. Elle vit parmi ~730 autres espèces d'abeilles indigènes au Canada, qui pour la plupart comme les bourdons sont solitaires, vivent dans le sol ou dans des cavités et ne produisent pas de miel.
C'est dans une perspective de reconnaissance des faits que pour les élections québécoises de 2018, Le Pharmachien et moi avions invité les partis à répondre à 10 questions de sciences. Je m'étais commis en entrevue à répéter l'expérience pour les fédérales. Mais...
Avec des agendas trop chargés et sans organisme pan-canadien pour nous appuyer, notre petite équipe a décidé de tirer la plug.
Pour-cette-fois.
Les personnes soucieuses des enjeux scientifiques ne sont pas totalement dépourvues de ressources pour effectuer un choix électoral éclairé (y compris celui de ne pas voter, notez bien). D'abord, l'ACFAS a organisé un intéressant bar des sciences.
Quoi qu'il en soit, l'enjeu scientifique le plus criant est de faire en sorte que les politiques publiques soient appuyées sur des évidences, ce qui demande non seulement un financement adéquat, mais également
(1) une science ouverte (accès libre et facile aux articles et aux données),
(2) une grande liberté d'expression chez les scientifiques de l'État et surtout
(3) une culture politique où l'on préfère la vérité à ce qu'il nous convient de croire.
When a colleague told me he assigned an undergrad student full-time to copy-paste historical weather data from Environment Canada, I searched into my files and found some code which I could format and share. The weathercan package, a gem written by Steffi LaZerte, allowed me to automate fetching tasks and save countless hours. All I had to provide was the spatial coordinates of my sites and, since my work was about agricultural data, time periods expressed as beginning of the season to harvest.