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Ils construisent des murs, nous bâtirons des ponts

La société de contrôle se dote d'outils de surveillance à des fins de politique anti-immigration. Aux États-Unis, la startup Anduril propose ses services à l'administration Trump pour lui permettre de réaliser son projet de construction de mur à la frontière avec le Mexique. L'entreprise déploie un mur virtuel de surveillance des frontières doté de capteurs pour analyser les mouvements aux alentours. Les caméras s'appuient sur une intelligence artificielle supposée être capable de faire la différence entre un animal et un humain qui tenterait de passer la frontière. Il ne s'agirait pas de gâcher une balle en tirant sur un coyote...

Anduril has been working with CBP since 2018, and it’s secured additional contracts with groups like the US Marine Corps and UK Royal Navy. Its sentry towers use a variety of sensors, including LIDAR, to capture data. An AI system called Lattice then analyzes it to distinguish between different kinds of moving objects. The goal is to detect humans crossing the US border while minimizing the number of false alarms from animals. Anduril has also produced other technology like a battering-ram drone that is not part of the CBP contract.

Tout cet argent dépenser dans des outils de contrôle et de surveillance pourrait être utilisé pour pouvoir accueillir décemment les populations qui abandonnent leur pays d'origine. Mais ce n'est pas le choix que fait le capitalisme de surveillance.

#caméra #Vidéosurveillance


Source : The Verge