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Codedarmor

DevFest Penn-ar-Bed 2019

đŸ‡«đŸ‡· – jeudi 9 janvier 2020

Mots clés : #DevFest, #Brest, #Codedarmor, #FinistDevs, #numérique

Presque un an aprĂšs, c’est le moment je trouve de faire un retour sur cette belle expĂ©rience
 bon et de faire un coup de pub aussi pour l’édition Ă  venir du DevFest du Bout du Monde !

Parce que c’est notre projet !

On a la chance en France d’avoir une tĂ©trachiĂ©e de confĂ©rences, et ce dans plusieurs villes comme le Breizh Camp, le Capitole du Libre, Codeurs en Seine, Devoxx, Pas Sage en Seine, Riviera Dev, Sunny Tech, et aussi les DevFest. HonnĂȘtement si on est curieux il y a toujours de quoi apprendre, mĂȘme si on retrouve parfois les mĂȘmes sujets un peu partout.

Le truc, c’est qu’en Bretagne il n’y avait pas de DevFest, et cette absence devait trotter dans la tĂȘte de certains. Et un beau jour, l’un des affreux lascars suggĂ©ra Ă  ses compĂšres : “Hey, et si on se mettait Ă  deux GDG pour faire le DevFest français le plus proche de Mountain View ?”. Et boum l’idĂ©e Ă©tait lancĂ©e : on allait faire notre DevFest en Bretagne histoire d’enrichir encore ce que l’on pouvait trouver dans la rĂ©gion.

2 Google Developers Groups

OriginalitĂ© de ce projet, on Ă©tait deux GDG Ă  s’en charger. D’un part 4 membres de FinistDevs, le GDG de Brest, avec AurĂ©lien, Horacio, Pierre et StĂ©phanie. D’autre part 4 membres de chez Code d’Armor, le GDG de Lannion, avec Marc, Pierre, Samuel et moi-mĂȘme. Nous Ă©tions tous motivĂ©s par la mĂȘme chose : offrir un beau DevFest au Bout du Monde, et le faire tourner entre nos villes respectives.

Le lieu 🐟

Le choix de la ville ne fut pas si Ă©vident : il fallait choisir celle qui avait le plus d’avantages que ce soit pour les hĂ©bergements, les salles mais aussi les moyens de transport. Pour cette Ă©dition de 2019, Brest fut retenue. L’aĂ©roport et la gare Ă  proximitĂ©, ainsi que les locaux de la FacultĂ© des Lettres et Sciences Humaines Ă©taient confortables et pratiques pour nous, et offraient davantage de facilitĂ©s pour faire venir des speakers et visiteurs de loin.

L’organisation 📝

Du coup, comment s’organiser efficacement quand l’équipe est rĂ©partie sur deux dĂ©partements ? Pas spĂ©cialement d’originalitĂ© Ă  ce niveau, si ce n’est qu’il fallait trouver le bon outil de visioconfĂ©rence pour faire des points rĂ©guliers, et aucun outil testĂ© n’était suffisamment efficace finalement. Jitsi Ă©tait moyennement stable avec un son assez mauvais, quant Ă  Hangouts
 clairement pas mieux. Et mensuellement des points en physique Ă©taient faits Ă  mi-chemin entre Brest et Lannion avec une bonne bouffe.

Les autres outils Ă©taient assez classiques, que ce soit Google Drive pour le stockage ou Trello. Slack a beaucoup aidĂ© aussi avec une multitude de channels dĂ©diĂ©es par exemple au CFP, au sponsoring ou encore Ă  la billetterie. D’ailleurs, avoir un robot sur Slack pour nous afficher les dĂ©tails des ventes Ă©tait un sacrĂ© plus : nous pouvions en un coup d’oeil voir le nombre de tickets vendus, ceux pour les sponsors ou les Ă©tudiants, ou encore le nombre de personnes venant via le bus que nous avions mis en place.

Le sponsoring 💰

Le sponsoring de ce genre d’évĂšnement, oĂč la concurrence est fĂ©roce, est assez dĂ©licat. Certaines entreprises ou Ă©tablissements jouent parfaitement le jeu et sont efficaces. D’autres parfois demandent Ă  ĂȘtre davantage accompagnĂ©es au vu de leurs process internes. Il arrive aussi que d’autres entreprises ne s’impliquent aucunement, que ce soit avec un refus correct ou un dĂ©dain complet. Toutefois cette problĂ©matique n’est pas inhĂ©rente aux confĂ©rences : on retrouve le mĂȘme problĂšme dans l’associatif. J’ai pu en parler un peu sur cet autre billet de blog.

Mais finalement les soutiens étaient là, et nous avons pu je pense offrir un 1er DevFest breton de qualité, merci encore à eux !

Le Call For Papers 📱

La sĂ©lection des sujets suite au CFP est toujours un exercice compliquĂ© voire chiant Ă  faire. Il faut par exemple savoir faire la part des choses entre les speakers que nous voulions voir, et ceux que le public aimerait avoir. Nous devions aussi faire attention Ă  la reprĂ©sentation des entreprises ou des sujets pour s’assurer d’avoir une bonne mixitĂ©. Conference Hall Ă©tait relativement pratique comme outil, et nous a permis de voter et trier la centaine de propositions reçues, pas mal pour une premiĂšre !

D’ailleurs j’avais pu faire un autre billet de blog Ă  ce sujet, Ă©tant donnĂ© que l’exercice est frustrant autant pour les organisateurs que les speakers et les visiteurs.

La dĂ©coration 🎈

Pour une premiĂšre Ă©dition nous ne voulions pas avoir un gros poste de dĂ©pense avec la dĂ©coration. L’essentiel Ă©tait avant tout de se faire connaitre et de proposer une confĂ©rence de qualitĂ© pour le public. NĂ©anmoins nous avions pu travailler avec le FabLab de Lannion pour rĂ©aliser des Ă©lĂ©ments comme des lettres 3D et des skylines. Nous en avions mĂȘme profitĂ© pour rĂ©aliser les time keepers pour les speakers.

Le rendu était pas trop mal, mais largement perfectible. Nous avions sous-estimé le temps de réalisation et devions boucler ce sujet au dernier moment.

Plus de détails rigolos sur ce billet-ci.

Merci aussi à Nicolas notre graphiste pour avoir réalisé une belle affiche !

La touche BZH ✌

Un DevFest dans le FinistĂšre (littĂ©ralement au bout du monde) devait forcĂ©ment avoir une p’tite touche bretonne, et elle Ă©tait prĂ©sente avec nos partenariats.
Par exemple A L’Aise Breizh nous fournissait en T-Shirts pour les speakers, organisateurs, bĂ©nĂ©voles et visiteurs. La distillerie Warenghem Ă©tait aussi prĂ©sente grĂące aux biĂšres spĂ©ciales que les visiteurs pouvaient demander dans leurs goodies. Enfin, et c’est une des plus belle rĂ©ussite du projet Ă  mon sens, les vidĂ©os des confĂ©rences Ă©taient 100% bretonnes. D’une part l’association 3BF Studio a fait un sacrĂ© boulot de captation et de montage des vidĂ©os que vous pouvez retrouver ici. De plus, Triskill, groupe de mĂ©tal traditionnel breton a pu nous fournir une bande son sympa (Kas a Barh) pour les vidĂ©os ! Vous pouvez l’apprĂ©cier notamment avec l’after movie.

Les keynotes de fermeture aussi avaient Ă©galement un cĂŽtĂ© beurre demi-sel (ou demi-doux). Quentin Adam de Clever Cloud (c’pas en Bretagne Nantes ?), en plus d’ĂȘtre sponsor et d’avoir apportĂ© des speakers, a animĂ© sa plĂ©niĂšre sur l’art de faire travailler les personnes ensemble de maniĂšre efficace. La plĂ©niĂšre de fermeture qui prĂ©cĂ©dait celle-ci Ă©tait davantage bretonne avec la prĂ©sentation du Dr Patrick Zemb sur le monitoring prĂ©natal ; dit autrement comment des outils (bretons đŸ€˜ ) comme WarpScript pouvaient rĂ©duire la mortalitĂ© prĂ©natale.

Dernier truc aussi, le marketing du DevFest. Cette premiĂšre Ă©dition n’était pas parfaite, mais elle Ă©tait satisfaisante. Nous avions alors dĂ©cidĂ© d’afficher les couleurs de notre DevFest, avec entre autres des hoodies bien chauds (ça caille parfois au bout du monde mine de rien) ; et le rendu n’est pas dĂ©gueu, surtout avec le logo !

Bref, cette Ă©dition 2019 du DevFest du Bout du Monde Ă©tait une rĂ©ussite. Parfois l’organisation n’était pas simple vu nos emplois respectifs et la distance, mais nous sommes parvenu Ă  faire un bel Ă©vĂšnement et nous avons de quoi ĂȘtre foutrement fiers !

Si ça vous tente, l’édition 2020 arrive le 28 fĂ©vrier, et la billetterie est en ligne. Vous pouvez suivre l’actualitĂ© Ă©galement via leur fil de gazouillis Twitter !

— DerniĂšre mise Ă  jour : jeudi 9 janvier 2020 PrĂ©cĂ©demment sur Medium et paper.wf —

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Retours sur 6 ans dans une asso de devs

đŸ‡«đŸ‡· – mercredi 26 juin 2019

Mots clés : #Codedarmor, #Lannion, #Bretagne, #GDG, #meetups

ArrivĂ© en Bretagne (Lannion !) en 2012 pour terminer mes Ă©tudes, je tombais sur une association de dĂ©veloppeurs rĂ©cemment lancĂ©e qui avait pour ambitions d’animer la communautĂ© des dĂ©veloppeurs du coin Ă  force de meetups, d’ateliers et d’évĂšnements et de favoriser le rĂ©seautage et le partage entre personnes de la tech. En 2013, je finis par rejoindre cette bande de geeks et ce pendant 6 putain d’annĂ©es. Yep, je venais de me lancer dans une belle aventure avec Code d’Armor. Retour lĂ  dessus, car j’y tiens trop đŸ„ł

La vie associative

D'abord des rencontres, beaucoup, avec certaines vraiment belles đŸ€. S’investir dans une association fait que l’on est toujours amenĂ© Ă  rencontrer du monde. Des gens qui viennent Ă  vos meetups, des curieux, allant du stagiaire qui dĂ©barque Ă  l’expert barbu dans son domaine. Mais aussi des officiels, comme des Ă©lus de la ville et de l’agglomĂ©ration ou des dĂ©putĂ©s qui s’intĂ©ressent Ă  ce que l’on fait et qui nous encouragent (merci Corinne, merci Eric). Aussi des rencontres avec d’autres associations comme les copains du FabLab de Lannion ou ceux du GDG du FinistĂšre FinistDevs. On se retrouve amenĂ© aussi Ă  Ă©changer avec des intervenants extĂ©rieurs connus nationalement voire internationalement qui viennent de loin faire une confĂ©rence chez nous. Et dans tout ça, de vrais bons potes đŸ».

Bon, aussi de la paperasserie, impossible d’y Ă©chapper. Recherche de subventions, demande de sponsoring, rĂ©unions, il faut savoir mouiller la chemise pour faire tourner la boutique. Les rĂŽles tournent, on essaye de toujours bouger et de se rĂ©partir les tĂąches 🔹.

On peut parfois compter sur certaines entreprises du coin pour nous soutenir, mĂȘme si parfois elles peinent Ă  masquer les autres qui brillent totalement par leur absence, bien trop nombreuses Ă  mon goĂ»t. C’est rageant, frustrant et pĂ©nible, mais c’est comme ça, l’associatif taquine parfois la politique, il faut savoir secouer les cocotiers pour que des choses en tombent, faire avec l’honnĂȘtetĂ© des uns et l’hypocrisie des autres. On peut avoir envie de baisser les bras, de laisser tomber. Mais on persĂ©vĂšre, toujours, et on s’adapte. Et des soutiens nous font continuer, et on les remercie ❀.

Les meetups

Code d’Armor c’est avant tout une histoire d’association d’irrĂ©ductibles bretons (et de au moins 1 normand, quand mĂȘme). On se force tous les mois Ă  faire des meetups, en variant les sujets techniques, ne s’interdisant rien, et dĂ©marchant des speakers de tous horizons. Et ça marche 🎉 !

Lannion est une petite ville, mais sur le plan quantitatif on y retrouve nettement plus de meetups que d’en d’autres. La frĂ©quentation de nos confĂ©rences est remarquable aussi, on arrive Ă  avoir des pics Ă  35 voire 40 personnes un midi sur un sujet, mĂȘme si plus rarement on tombe Ă  5 ou 10, avec un moyenne de 15/20 personnes finalement. C’est le jeu, on varie les propositions, le public vient s’il en a envie. En discutant avec les copains d’autres associations homologues on se rassure en voyant nos rĂ©sultats, on a de quoi ĂȘtre fier. La richesse est dans la diversitĂ©, et on estime que traiter une mĂȘme annĂ©e les thĂ©matiques de blockchains, time series, machine learning, containers et OS mobiles alternatifs apporte beaucoup pour tout le monde. Quand des acteurs locaux animent ces prĂ©sentations, c’est top. Quand d’autres viennent d’ailleurs, c’est encore mieux 👍 !

C’est intĂ©ressant aussi de voir comment ça fonctionne autre part. Dans des grosses villes les meetups marchent bien le soir aprĂšs le travail, et assez peu le midi. Les gens bossent en journĂ©e, partent plus tĂŽt pour le meetup et rentrent vivre leur vie. Chez nous c’était l’inverse. La frĂ©quentation le soir baissait et Ă©tait dĂ©cevante. En calant nos meetups sur la pause mĂ©ridienne, on vit la frĂ©quentation passer d’un pĂ©nible 10/15 personnes Ă  une grosse trentaine. Les autochtones prĂ©fĂšrent nous rejoindre le midi.

La communication

Que faire quand vous voulez vous faire connaitre par le plus grand nombre de personnes du coin sans forcément faire tourner des sextapes ? Comment gagner de la visibilité à moindre coût ?

DĂ©jĂ  un site web, merci Erwan ! Ensuite, un systĂšme pour lister les Ă©vĂ©nements. Au dĂ©but Eventbrite, puis afin d’harmoniser les outils des GDG, Meetup a Ă©tĂ© imposĂ©. J’estime avoir perdu au change. Une usine Ă  gaz, moins de donnĂ©es accessibles pour nous (alors que basiques !). La bascule de l’un Ă  l’autre nous a fait perdre du public, il fallait tout recommencer. Ensuite, cĂąbler l’outil au site web et le tour Ă©tait jouĂ©.

Le label Google Developers Group (GDG) aussi. Le mot “GOOGLE” en faisait fuir certains, mais en leur montrant qu’il n’y avait ni dĂ©vots ni prosĂ©lytisme, et qu’on avait surtout un gain de visibilitĂ© et de contenu, ça allait. À une Ă©poque on pouvait voir comment on se positionnait par rapport aux autres GDG, ça nous rassurait dans les moments de doute.

Ensuite, les affiches. On avait la chance d’avoir un bon graphiste dans l’asso (merci Erwan !) pour faire des affiches Ă  poser pour annoncer nos meetups. Puis il se mit en retrait, et je pris la suite. Je ne ferais pĂŽ carriĂšre dans ce domaine :-D Mais avec GIMP, Freepik et Flaticon il y avait moyen de faire des choses efficaces (et sur un malentendu, si on n’était pas regardant, pas trop moches !) 🎹.

Les rĂ©seaux sociaux aussi. Twitter et Google+. Oui, Google+. On y partageait des informations, mais l’audience Ă©tait assez faible avant que l’outil ne soit euthanasiĂ© par Google.

Enfin, la newsletter avec Mailchimp. Interface simple, efficace, avec possibilitĂ© d’avoir des mĂ©triques sur nos campagnes. On a eu des rebonds de frĂ©quentation grĂące Ă  une bĂȘte infolettre mensuelle. 📧

Les gros projets

On peut dire que dans l’associatif ce n’est pas la taille qui compte. DĂšs 2012, Code d’Armor avait repris un Startup Weekend Ă  Lannion, grĂące Ă  ça que je l’ai connu d’ailleurs. AprĂšs on n’a pas continuĂ©, trop contraignant, et de plus en plus lourd Ă  mettre en place đŸ„”.

Il y eu aussi les Ă©ditions de la FĂȘte du Libre, Ă  savoir Libre en FĂȘte en TrĂ©gor. Travailler de concert avec d’autres associations de tous poils, co-gĂ©rer le projet avec le FabLab, et finalement un Ă©vĂ©nement attirant plus de 700 personnes sur une journĂ©e avec de nombreux ateliers, stands et confĂ©rences. Une belle rĂ©ussite, on a de quoi ĂȘtre fier đŸ’Ș

Enfin le DevFest du Bout du Monde avec les copains de FinistDevs. Vous vous rappelez les irrĂ©ductibles bretons ? FaĂźtes travailler ensemble deux GDG et vous aurez un DevFest au bout du monde (littĂ©ralement) avec 350 visiteurs, une dizaine de sponsors, 40 confĂ©rences et ateliers sur 4 tracks en parallĂšle. Et finalement une belle rĂ©ussite qui fait plaisir ! Ca donne aussi envie de continuer. De faire encore mieux, plus grand, peut-ĂȘtre pas ailleurs. L’associatif finit parfois par ĂȘtre une histoire de politique, on fait avec ce que l’on nous donne ou pas.

Les vidéos

Il y eu trĂšs tĂŽt la volontĂ© de capitaliser sur ce que l’on faisait, avoir des traces de nos confĂ©rences. La dĂ©cision fut prise rapidement d’enregistrer et mettre en ligne nos confĂ©rences. Les 1ers essais furent sympas (par exemple), mais demandaient du travail de montage. On passait aussi par les lives de Hangout ou YouTube, mais la qualitĂ© n’était pas au rendez-vous et on subissait un rĂ©seau parfois capricieux (exemple). Ensuite on filmait, en best effort. C’était dĂ©jĂ  mieux, mais pas encore top.

Et derniĂšrement, on s’est Ă©quipĂ©, suite au DevFest entre autres. On gardait notre micro USB Yeti Blue et la webcam C910 de Logitech, et on ajoutait un splitter HDMI ainsi qu’une carte AverMedia ExtremeCap. DerriĂšre OBS sur un laptop Ă  8 Go de RAM et le tour Ă©tait jouĂ©. On tĂątonne encore sur la mise en forme, mais c’est dĂ©jĂ  mieux. Bon, les mĂ©triques de notre chaĂźne YouTube ne sont pas terribles, mais on vient de loin đŸ“œïž. Un bel exemple ici.

Les p’tits trucs en plus

En plus de la vie mensuelle de l’association, du travail de communication, la recherche d’intervenants et les gros projets en parallĂšle, il y avait d’autres choses qui pouvaient arriver. Parfois aider un hackathon du coin avec du mentoring, une autre fois s’investir dans un Startup Weekend voisin. Mais aussi organiser un hub pour le Google Hash Code, animer des I/O Extended, et avoir des membres aller outre-Atlantique pour la Google I/O et le GDG Summit. De temps Ă  temps avoir des personnes qui testent leurs confĂ©rences chez nous avant de les faire dans des gros rassemblements. Les annĂ©es se suivent, se ressemblent et sont finalement bien remplies. Une dizaine de meetups par an en moyenne, de temps un temps un cod’apĂ©ro, et une grosse variĂ©tĂ© de sujets.

Et maintenant ?

En regardant dans le rĂ©troviseur, en pensant Ă  nos moyens humains (un noyau dur de Ÿ personnes) et Ă  notre situation gĂ©ographique, on a de quoi ĂȘtre fier de nous. On se dĂ©carcasse et ça change tout. On arrive Ă  braquer les projecteurs sur notre TrĂ©gor et Ă  faire des choses.

Mais maintenant, je dois bouger, pour raisons familiales. Je garde de supers souvenirs, et j’ai gagnĂ© des bons potes À voir maintenant ce que je ferais, mais je vois dĂ©jĂ  qu’il y a de quoi faire Ă  Toulouse entre le GDG et le Capitole du Libre. Quand on est un animal associatif on trouve toujours un endroit oĂč creuser, pour que je m’arrĂȘte ce n’est pas gagnĂ©. En tout cas, merci les copains et kenavo ! 👏

Et si vous avez du temps, n’hĂ©sitez pas Ă  voir ce que eux ou leurs boites font :) Je pense Ă  Marc, Samuel, Pierre, SĂ©bastien et Kristal, Nicolas et DC Brain, mais aussi Eric, Erwan ou encore Sylvain et CĂ©dric avec Saooti.

— DerniĂšre mise Ă  jour : mercredi 26 juin 2019 PrĂ©cĂ©demment sur Medium et paper.wf —

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